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Category : Acteur de sa vie

Ici vous trouverez toute une liste d’articles qui vous permettront de devenir l’acteur de votre vie

Acteur de sa vie

Comment réussir sa prise de parole en public : 3 techniques indispensables

  • Théo Duverger
  • décembre 20, 2018

Comment réussir une prise de parole en public.

Comment être certain de faire une bonne impression, de délivrer le bon contenu, le bon message à votre auditoire?

Vous avez envie de faire une bonne impression, vous avez envie de faire une prise de parole en public qui soit impactante, que votre message soit bien entendu par votre auditoire.

Mais voilà souvent,  le risque c’est d’oublier une partie de ce qu’on a à dire; le risque ça va être de bafouiller, de mal se faire comprendre, de mal interpréter aussi ce que l’auditoire voulait de nous. Eh bien, dans cette vidéo, je vais vous donner trois techniques pour vous permettre de réussir une prise de parole en public extraordinaire. 

Salut, c’est Théo Duverger, Coach et Conférencier professionnel.

Avant de vous donner ces trois techniques, cliquez sur le bouton je m’abonne ici en bas de la chaîne, pour rester au courant de toutes les vidéos qui sont postées sur cette chaîne YouTube. Vous pouvez aussi aller dans le lien de la description juste là sous la vidéo pour télécharger le livre : ta deuxième vie commence maintenant sept étapes pour changer de vie et vivre enfin de vos passions. 

Alors vous voulez réussir votre prise de parole en public. Super, extraordinaire, magnifique. Pour ça, manifestement il y a trois principales étapes.

La première étape nécessaire à toute prise de parole en public réussie c’est la préparation.

Quand je vous dis la préparation je veux dire exactement qui est le public visé.

Qui est le public visé d’une part, et d’autre part quel est le message que je veux lui faire passer.

Pour dire encore mieux que le message que je veux lui faire passer quel est le message que le public doit retenir à la fin de mon intervention.

Que vous soyez dans une réunion, que vous soyez dans un dîner de famille, que vous soyez, je ne sais pas, dans un mariage, que vous soyez dans une convention: vous devez en priorité vous intéresser, non pas à vous, ce que vous voulez dire mais au public, qu’est-ce que le public doit retenir de votre intervention.

Et c’est ça en fait qui va créer toute l’architecture de votre présentation à l’oral, et ça c’est une première étape sur laquelle on ne peut absolument pas passer.

La deuxième étape maintenant va consister à écrire.

Ecrivez, écrivez, écrivez votre présentation orale. J

e sais que la plupart des gens se disent « bon, moi je n’ai pas besoin d’écrire, je suis bon à l’oral », « mais non, mais je n’ai pas besoin d’écrire, je ne m’embarrasse pas avec ça », « quand j’écris je me sens un petit peu figé, je me sens dans un carcan », c’est vrai.

Mais vous devez à mon sens tout de même écrire vos prestations pour la simple et bonne raison que plus vous écrivez vos prestations, plus elles sont professionnelles, plus elles peuvent marquer votre auditoire parce que en écrivant vous réalisez complètement tous les points que vous devez dire à l’autre, tous les points que vous vous devez dire à votre public.

Plus vous écrivez, plus vous allez être bon dans votre prise de parole en public.

Alors, la troisième étape, vous allez voir, elle est légèrement contradictoire avec ce que je viens d’expliquer mais c’est répéter.

Répéter, répéter, répéter, répéter votre texte. Pas deux fois, pas dix fois, peut-être cent fois.

Vous devez être capable de répéter votre texte en marchant, en courant, en prenant votre douche.

Vous devez répéter en permanence votre texte pour pouvoir l’oublier complètement. L’oublier complètement va vous donner une impression très particulière pour le public.

Vous connaissez votre texte par cœur, mais dans la délivrabilité de celui-ci dans la manière avec laquelle vous allez délivrer votre présentation, on oubliera complètement que c’est quelque chose qui est parfaitement écrit structuré et travaillé.

La plupart des comédiens que vous pouvez voir, un one-man-show, un stand-up, ont des textes purement et simplement écrits ça ne se voit pas, on a l’impression qu’ils parlent comme ça de manière très fluente, de manière très fluide, comme ça aux gens; mais non c’est excessivement écrit, répété, répété, répété et oublié.

Ça sortira du côté un petit peu robot, un petit peu machine d’un apprentissage purement par cœur et ça vous permettra aussi de faire des écarts avec votre présentation.

Imaginez quand vous connaissez tellement votre présentation que vous pouvez vous sortir de là, vous pouvez être interrompu, vous retombez toujours sur les rails parce que vous connaissez exactement avec précision tout ce qu’il y a dedans, mais vous n’en êtes pas dépendants.

Eh bien, ce sont grâce à ces trois étapes que vous allez cartonner dans vos prises de parole en public.

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Acteur de sa vie, Prise de parole en public

Prise de parole en public : comment ne plus avoir peur

  • Théo Duverger
  • novembre 26, 2018
  • prendre la parole en public, prise de parole en public

Prise de parole en public : comment ne plus avoir peur

Comment arrêter d’avoir peur de prendre la parole en public.

Comment ne plus avoir cette boule au ventre-là à chaque fois qu’on vous interroge ou à chaque fois que vous devez prendre la parole en public. Imaginez un monde dans lequel vous levez la main vous vous exprimez librement. Vous connaissez le proverbe faire c’est bien, savoir faire c’est mieux, faire savoir c’est peut-être encore mieux, pour faire savoir, vous devez vous exprimer oralement on doit vous voir.

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Que ce soit dans un milieu personnel ou quelque chose de plus professionnel vous devez vous exprimer dans une réunion, vous devez vous exprimer dans des congrès, dans des conventions, dans un mariage, vous allez devoir prendre la parole en public à un moment ou à un autre malheureusement.

La peur de prendre la parole en public est l’une des peurs les plus importantes que les êtres humains partagent. C’est parfois même une peur beaucoup plus importante encore que la peur de mourir chez certaines personnes, on a beaucoup plus peur de prendre la parole en public que de mourir, cette fameuse boule au ventre, les mots qui se mélangent, la gorge sèche tout ce genre de choses qui sont là en permanence quand vous voulez prendre la parole en public eh bien, dans un instant je vais vous expliquer comment arrêter tout ça.

Comment prendre la parole en public facilement ?

Alors, vous aimeriez prendre la parole en public de manière complètement aisée, complètement libre. Pour ça il y a forcément deux étapes que je vais vous partager.

Je vais vous expliquez que malheureusement prendre la parole en public va générer invariablement des peurs, eh bien, la toute première étape la toute première chose que vous devez savoir c’est que cette peur, et bien, on la partage, tous.

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Qu’on soit habitué ou non à prendre la parole en public, même un conférencier professionnel peut avoir peur de prendre la parole en public il l’appellera ça du trac mais c’est pareil, c’est une peur. Cette peur est viscérale, c’est une peur ancestrale qui correspond à notre peur d’être rejeté d’être jugé par un groupe, donc potentiellement d’être mis à l’écart du groupe.

Mis à l’écart du groupe à une époque assez reculée quand on était les premiers hommes sur cette terre ça voulait dire potentiellement mourir voir si je suis à l’écart du gros je me retrouve seul face à des tigres à dents de sabre, je meurs.

Et donc, on a généré en nous, on programmé en nous cette peur de prendre la parole en public on va trouver des astuces pour contrer cette peur on va trouver des astuces pour pouvoir, eh bien, faire avec cette peur parce que c’est vraiment ça.

Je ne crois pas qu’il existe des gens qui me disent sur terre « je n’ai pas peur de prendre la parole en public ». On n’a pas peur dans certains contextes, certes. Mais on a toujours peur à un moment ou à un autre, parce qu’on est devant son patron parce qu’il y a un enjeu parce qu’il y a une hiérarchie devant nous on a toujours à un moment donné peur de prendre la parole en public.

2 astuces pour ne plus avoir peur de prendre la parole en public

« L’aller-Vers »

Maintenant les astuces pour arrêter cette peur, ces astuces pour combler cette peur. Pour moi j’en vois deux : La toute première est très simple c’est là l’astuce de ce que j’appelle « L’aller vers ».

Vous allez vers cette peur. Le problème quand on a peur souvent c’est qu’on s’enfuit de cette peur, le problème quand on a peur c’est qu’on demande à quelqu’un de faire à notre place : « Tu sais, c’est… réponds à ma place moi parce que moi j’ai trop peur de parler ». Et on demande au copain on demande au camarade, ou au collègue de répondre à notre place.

Quand on fait ça le problème c’est qu’on ne s’habitue pas à faire la chose à affronter notre peur donc on ne s’habitue pas à la tuer cette peur. Donc on va aller vers cette peur. Et pour contrer, contrer et de tuer cette peur, je vous conseille de l’allez vers massivement.

Ça veut dire quoi aller vers massivement ? ça veut dire à chaque fois que vous le pouvez, vous allez délibérément, consciemment prendre la parole en public. Je sais, vous allez me dire « Mais c’est horrible ! j’ai peur. » Justement ! Justement, vous allez peur, allez vers cette peur allez vers cette peur massivement engagez-vous massivement à aller systématiquement dès que vous avez une occasion lever la main, prendre la parole, préparer un projet, exposer le projet devant un board, peu importe. C’est votre moment à vous.

Engagement massif

Alors, évidemment pour faire ce genre de choses, il faut tout de suite commencer à se dire quelque chose c’est : Je m’engage. Quand vous êtes engagé dans quelque chose, eh bien, quand vous êtes engagé dans quelque chose ça influence votre cerveau à faire cette chose.

Donc, mon conseil : vous inscrire massivement dans une démarche qui va vous permettre de prendre la parole en public aussi souvent que vous le pouvez.

Plus vous allez prendre la parole en public, plus vous allez être habitué à prendre la parole en public moins vous allez avoir peur. Evidemment vous allez avoir différents paliers vous pouvez commencer à parler à deux, trois personnes et puis à un groupe un peu plus élevé et puis un groupe avec de la hiérarchie, mais il va falloir passer par là, il n’y a pas de secret n’y a pas de mystère effectivement il y a des gens qui sont plus introvertis que d’autres.

Là c’est clair, c’est toujours pareil engagez-vous, engagez-vous vous allez faire faire faire jusqu’à y arriver et améliorez-vous. Il n’y a pas d’échec considérez que vous êtes en progression en permanence il n’y a pas d’échec, tant que vous vous engagez et que vous faites.

Aussi, la prochaine fois que vous entendez dans une réunion de famille, professionnelle quelqu’un qui pose une question, levez la main répondez, peu importe ce que vous répondez, répondez !

Quand on vous demande si vous voulez vous mettre sur un projet, levez la main oui, quand on demande si quelqu’un dans la salle a envie de prendre la parole lever la main oui, j’ai envie de prendre la parole peu importe ce que vous dites, c’est parce que vous allez prendre la parole que vous allez vous améliorez que vous allez devenir meilleur et meilleur et meilleur.

Dans la prise de parole en public et que vous allez contrer cette peur il va falloir repousser il va falloir dépasser des montagnes grâce à cette technique et vous allez y arriver.

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Acteur de sa vie, Business, Coaching

Vous détestez votre travail? 3 façons d’y remédier

  • Théo Duverger
  • novembre 11, 2018

Vous détestez votre travail, 3 façons d’y remédier !

Vous détestez votre travail !

Vous ne l’aimez plus, ça y est c’est fini. Je n’aime pas mon job, je ne l’aime plus, il ne m’intéresse pas, c’est nul !

Alors, comment se remettre à apprécier son travail ? C’est ce qu’on va voir dans un instant.

Comment retrouver de l’intérêt pour son travail ?

Il y a trois manières de pouvoir retrouver de l’intérêt à un travail, vous allez voir, les deux premières sont très particulières la troisième on la met légèrement à part.

1/ Les à-côtés

La première manière de retrouver de l’intérêt à son travail c’est simplement de se demander, eh bien : qu’est-ce qui va malgré tout être intéressant dans mon travail, c’est-à-dire, non pas dans les tâches que je vais exécuter parfois effectivement les tâches sont pénibles, on est près du burn-out, on s’ennuie. Mais qu’est ce qui va être intéressant qui gravite autour du travail : quelles vont être les interactions sociales que je vais avoir avec mon travail, quels sont les gens que je vais rencontrer, quels sont les projets que je peux éventuellement avoir m’occuper du SEO, m’investir moi mais dans la vie sociale associée à mon travail qui vont me redonner de l’intérêt pour aller passer du temps de vie. Il n’y a pas à dire, c’est du temps de vie tous les jours du lundi au vendredi au boulot. Et ça c’est la première façon de faire.

2/ Vous n’êtes pas votre travail

La deuxième façon de faire maintenant c’est de considérer  que vous n’êtes pas votre travail !

Dans mes coaching je vois que souvent les gens qui perdent de l’intérêt pour leur job sont des gens qui se focalisent, qui ont une vie qui est entièrement tournée vers leur travail, vous n’êtes pas votre travail.

Vous n’êtes pas uniquement un professionnel vous êtes aussi un humain, un individu qui peut avoir des responsabilités au travail, certes, mais qui doit cultiver sa richesse individuelle en dehors du travail. Sport, théâtre, une activité culturelle musicale peu importe vous vous devez à vous-même de vous enrichir de la personne que vous êtes.

Je répète : Vous vous devez à vous-même de vous enrichir de la personne que vous êtes ! Vous passez certes du temps au travail, mais vous passez 100% du temps avec vous-même. Donc, autant commencer à vous apprécier autant commencer à enrichir la personne que vous êtes, par vos centres d’intérêt et par le temps que vous allez consacrer à ces centres d’intérêts.

3/ Créez votre emploi

Enfin, la troisième façon : si vraiment votre travail ne vous plaît pas, elle est à part, tout à l’heure je l’ai dit, bah oui, elle est à part. Elle va consister à : Créer votre nouveau travail. On n’y pense pas souvent on a souvent peur de le faire et pourtant la meilleure façon de se créer la vie qu’on a envie d’avoir c’est de créer son entreprise je sais ça fait peur je sais il y a plein de blocages c’est y a plein de barrières. Mais croyez-moi : si votre métier ne vous plaît pas si votre métier n’existe pas, il ne dépend qu’à vous de le créer avec succès. Il y aura d’autres vidéos sur l’entrepreneuriat vous pouvez cliquer sur des vidéos sur des listes un peu partout pour les trouver créez votre emploi et vous n’aurez plus jamais l’impression de travailler si cet emploi est un emploi qui vous fait vibrer.

Partagez l’article et la vidéos si vous pensez qu’ils peuvent aider quelqu’un

 

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ne me dites plus jamais bon courage philippe bloch
Acteur de sa vie, Livres à lire

Arrêtez de dire « Bon courage »!

  • Théo Duverger
  • octobre 21, 2015

Ne me dites plus jamais bon courage!

« -Allez, je te laisse, je vais écrire un article pour mon blog

-Ah, et bien…bon courage! »

Voilà typiquement la phrase qui, mine de rien, vous fait réfléchir avant de prendre la plume, ou en ce qui me concerne, le clavier de mon ordinateur.

Mais quelle est donc cette manie de se souhaiter « bon courage » avant d’entreprendre un travail, une journée, un rendez-vous? Faut-il réellement du courage pour affronter ces « épreuves » du quotidien? Peut-on réellement mettre sur un pied d’égalité le courage dont nous devons faire preuve avant la rédaction d’un article où que sais-je, et le courage dont fait preuve un soldat du feu qui part se jeter dans l’antre infernale d’une maison qui brûle?…Sérieusement?

Me voilà donc, armé d’un courage sans pareil… pour vous écrire cet article. Oui je sais lecteur, je mets ma vie en péril à l’instant même où j’écris ces quelques mots…mais c’est mon devoir!

Ridicule n’est-ce pas? Et pourtant, combien sommes-nous, tous les jours, à nous souhaiter un « bon courage » anodin avant de nous quitter.

Le pouvoir des présuppositions:

Vous le savez certainement, lecteur assidu que vous êtes de ce blog, je suis un passionné d’hypnose. Mais pas l’hypnose telle que vous la connaissez par les spectacles ou ce que la télé et les films à sensation veulent bien vous montrer, non. L’hypnose de tous les jours, dans ce qu’elle a de plus beau en terme de communication et de technique d’influence. L’hypnose quotidienne qui pousse un boulimique à « se farcir » son frigo parce que « c’est plus fort que moi ». Celle qui nous empêche d’arrêter la clope uniquement par la volonté, parce que « c’est plus fort que moi »…Bref, l’hypnose moins bling bling que celle qui consiste à transformer un spectateur en sanglier devant des centaines de spectateurs. L’hypnose dans laquelle nous sommes plongés tous les jours, car nous sommes tous sujets aux suggestions de notre environnement.

L’hypnose qui se cache sous des noms alambiqués car le mot même fait peur: Neuro-marketing, PNL, EMDR etc…

L’état d’hypnose quotidien dans lequel sont plongés mes clients qui, paradoxalement, viennent faire des séances pour se « réveiller »…grâce à l’hypnose.

Nous sommes chaque jour sujets à des dizaines et des dizaines de suggestions qui nous influencent en bien ou en mal. Des dizaines de phrases que l’on entend dans les médias, de la part de collègues de travail, de la famille, des phrases que l’on se répète aussi en tête.

Alors que penser de cette phrase « Bon courage »? Ceux qui connaissent les techniques d’hypnose ericksonienne reconnaissent dans cette phrase ce que nous appelons une suggestion par présupposition.

Nous présupposons qu’il va nous falloir du courage, pour accomplir notre tâche!

Le problème de ces suggestions, c’est qu’à force de les entendre, nous nous mettons inconsciemment dans l’état souhaité.

Il me faut du courage pour travailler…le travail est pénible…je n’ai pas envie de travailler…pfff c’est la déprime!

Même si cette simple phrase peut paraître anodine, entendue chaque jour, ses effets peuvent influencer grandement la perception que vous avez de votre travail ou de votre quotidien.

A votre avis, quel effet cela aurait-il sur vous, que dans les mêmes circonstances, à la place de « bon courage », vous entendiez un « magnifique journée à toi ».  Ou mieux encore, un « wouahou, tu as de la chance, tu vas écrire quoi »?

Automatiquement, vous entrez dans une toute autre prédisposition à vous mettre au travail n’est-ce pas?

Ne me dites plus jamais bon courage, le livre!

A la sortie d’une formation que je donnais sur les techniques d’influence, et dans laquelle je parlais justement de ce fameux « bon courage », un spectateur est venu me voir pour me demander si je connaissais le livre de Philippe Bloch, qui porte ce titre.

Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que cet homme d’affaires, avait regroupé à l’intérieur d’un même livre, les principales expression qui vous assombrissent la vie au quotidien.

Ce livre est clairement écrit par un amoureux du travail. Un homme qui a cette valeur chevillée au corps. C’est aussi un plaidoyer pour redresser le monde du travail, en France, de sa morosité ambiante.

On y découvre 12 chapitres pertinents, sur ce qui fait que justement, nous laissons cette morosité s’installer insidieusement dans nos esprits.

Nous laissons des suggestions par présuppositions nous toucher avec des « bon courage », « le problème c’est que… » « Ce sera tout? » « Dans ce pays… »

Sa lecture est véritablement enthousiasmante et je le recommande vivement!

 

Achetez le livre ici:

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Acteur de sa vie

Apprendre à vivre

  • Théo Duverger
  • mars 6, 2015

Apprendre à vivre

Cet article est un article invité, réalisé par mon collègue et ami Guillaume Gautier, du site dreaminzzz . Nous nous croisons souvent en tant que formateurs à l’ARCHE et il m’a parlé avec passion du projet qu’il conduit sur le sommeil. Allez donc visiter son site, vous ne le regretterez pas!

Quelle arrogance d’écrire un article qui pourrait prétendre vous apprendre à vivre.

Cet article est donc avant tout une observation, une réflexion sur ce thème.

Pensez à tous ces apprentissages qui nous semblent innés tant leur implantation dans notre cerveau semble lointaine. Se nourrir, marcher, observer, communiquer et même apprendre… Pourtant, il s’agit bien d’acquis. Même si la plupart d’entre eux sont encodés au plus profond de nos gênes, dans notre ADN, il n’en demeure pas moins qu’il reste une grande partie de ces apprentissages à notre charge.

Le terreau et la graine sont bien là, à nous d’apprendre à les arroser.

Comment devenir la meilleure version de soi même en restant sur nos acquis, sans chercher à les améliorer, à les entrainer ?

 Après tout… ça marche !

Nous avons appris naturellement à marcher puis à courir, c’est un principe de survie chez tous les êtres vivants ayant la capacité de se déplacer. Nous pourrions alors penser que nous sommes naturellement doués pour ça et que l’apprentissage est parfait. Pourtant lorsque nous voulons le faire bien, nous devons souvent réapprendre à le faire, déconstruire pour mieux reconstruire.

Tous les comédiens ou les sportifs connaissent bien ça. Les sportifs par exemple, doivent réapprendre à courir pour gagner, mais aussi et surtout pour ne pas abîmer leurs articulations, leur dos, etc.

Nous vérifions ainsi chaque jour le fameux adage :

Inconsciemment incompétent -> Consciemment incompétent -> Consciemment compétent -> Inconsciemment compétent.

Ou pour le dire autrement…

Vous ne savez pas que vous ne savez pas -> Vous savez que vous ne savez pas -> Vous savez que vous savez -> Vous ne savez plus que vous savez.

Par exemple:

Enfant vous ne saviez pas que vous auriez besoin un jour, de savoir faire des lacets, vous étiez bien à l’aise dans vos scratchs… Puis, vous voyez d’autres enfants faire leurs lacets, et vous savez que vous, vous ne savez pas les faire… Vous décidez d’apprendre et vous êtes fière de montrer à papy et mamie que vous savez… enfin, en grandissant, vous finissez par les faire sans vous en rendre compte, cela vous semble évident.

 Certains se nourrissent… d’autres « bouffent » !

Se nourrir n’échappe pas à cette règle, surtout dans un monde moderne nous proposant toujours plus de nouvelles saveurs, de nouvelles compositions, souvent au détriment de notre santé, de notre équilibre et de notre ligne. Réapprendre à manger n’a jamais été mis autant en avant que ces dernières années.

 Apprendre à apprendre

Imaginez que l’on passe au moins les 15, 20 premières années de sa vie à apprendre, souvent sans avoir cherché à utiliser les processus d’apprentissage et de mémorisation les plus efficaces. En somme, nous n’avons jamais appris à apprendre… curieux, non ? Aujourd’hui, de nombreuses recherches et ouvrages existent sur le sujet et les techniques demeurent de plus en plus accessibles.

 Conférence de Gilles Malençon sur L’apprentissage et l’hypnose à l’ARCHE

https://www.youtube.com/watch?v=Ty2ebQ4HnCM&feature=youtu.be&list=UUBKeWMYPRmSbVes0kVUm9Qg

Les grands principes de l’apprentissage par Stanislas Dehaene

https://www.youtube.com/watch?v=4NYAuRjvMNQ

 

Et dormir alors ?

angedodo

S’il y a bien une de nos fonctions qui semble complètement régie par notre inconscient, c’est bien le sommeil. Ce moment où l’on passe en « OFF ».

Comment se fait-il alors que nous ne soyons pas tous égaux face à la douce étreinte des bras de Morphée ? Pourquoi certains s’endorment rapidement, pourquoi d’autres mettront parfois des heures à trouver le sommeil ? Le temps d’endormissement moyen étant de 19 minutes.

Qu’est-ce qui crée l’écart entre ce temps et le vôtre ?

Qui sont ces personnes qui ont réussi à réduire drastiquement leur temps d’endormissement ? Quelles sont leurs pensées? Leurs modes de fonctionnement? Qui sont celles qui, au contraire, maintiennent un temps relativement important ? Comment fonctionnent-elles?

Ci-dessous, une technique pour apprendre à vous endormir rapidement:

#12 Technique d’endormissement rapide

Cette technique est extraite du coaching Sleep Fast proposé par dreaminzZz.com et ne saurait à elle seule vous assurer tous les bienfaits d’un sommeil profond et récupérateur.

 Au moment de dormir, le soir ou pendant une sieste, associe l’idée des paupières qui se ferment à un endormissement profond et rapide.

Il suffit pour cela de te dire mentalement qu’au moment où les paupières se fermeront, elles enverront un signal fort à ton mental, que tout le corps peut se mettre en veille, un peu comme si tu fermais l’écran de ton ordinateur portable ou que tu mettais en veille un appareil électronique.

Concentre-toi alors sur tes paupières, et ferme les yeux le plus lentement possible. Quand les paupières sont closes, rouvre-lespuis recommence ce schéma encore plus lentement.

Chacune des fermetures doit être de plus en plus lente et progressive.

À chaque fois que les paupières sont fermées, allonge le temps où elles restent fermées en prêtant attention aux modifications de tes rythmes intérieurs (respiration, tonus musculaire, rythme des pensées).

Réalise cet exercice pendant 5 minutes et tente de compter, combien de fois sont nécessaires jusqu’à l’endormissement.

Pratique cet exercice sur une semaine et note ta progression.

Avec un peu d’entrainement, et en couplant cette technique à d’autres, on arrive vite à un temps d’endormissement en dessous d’une minute.

Cette technique d’endormissement vous a plu ? Découvrez bien d’autres astuces et techniques dans un nouvel univers où vous pourrez entre autres améliorer la qualité de votre sommeil en vous amusant au quotidien.   https://www.dreaminzzz.com

 Ces dernières années, de nombreuses recherches ont permis de mieux comprendre le rôle du sommeil dans notre vie quotidienne. Nous savons qu’il est responsable de la qualité de nos processus de mémorisation, d’apprentissage, d’entretien de notre bonne santé psychique (au travers des cauchemars notamment), etc.

Si aujourd’hui, nous lui reconnaissons le rôle fondamental qui est le sien, il n’en demeure pas moins qu’il reste mal connu.

Les institutions de santé publique nous mettent chaque jour un peu plus en garde face aux risques d’un sommeil de mauvaise qualité, ou face au manque de sommeil. Plus que jamais, les techniques de gestion du sommeil gagnent à être enseignées et maitrisées auprès du plus grand nombre, tant ses répercussions sont multiples.

 Apprendre à faire avec

Apprendre est souvent le premier pas vers la compréhension. Comprendre comment nous fonctionnons, quels sont les comportements, les pensées ou encore les habitudes qui nous limitent. Comment apprendre à les dépasser permet d’orienter cet apprentissage?

Certains organismes tels que l’INSERM  (l’Institut national de la santé et de la recherche médicale) ou l’INSV (L’institut National du Sommeil et de la Vigilance) sensibilisent le grand public sur les risques d’une mauvaise qualité de sommeil.

Les causes des différents troubles du sommeil vécus par près de 40% de la population française sont multiples :

Horaires décalés, stress, prise d’excitants (café, thé, alcool, médicaments), alimentation trop riche, etc.

Notre rythme de  vie  est-il le seul fautif ?

Nous savons que la méditation, l’autohypnose et un certain nombre d’autres approches thérapeutique/coaching sont des outils efficaces pour s’endormir plus rapidement et avoir un sommeil de qualité. Nous savons également qu’il faut manger équilibrer.

Le « savoir » est donc une chose, le « faire » en est une autre. Et si pour apprendre à vivre il fallait commencer par apprendre à apprendre à vivre.

Dans les commentaires ci-dessous, indiquez quels sont vos trucs et astuces d’endormissement!

 

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Acteur de sa vie

La relation à l’autre besoin ou envie: récapitulatif

  • Théo Duverger
  • février 22, 2015

La relation à l’autre besoin ou envie: récapitulatif

Voilà, c’est fini…comme dirait la chanson. L’évènement du mois, ce festival des blogs réalisé en partenariat avec le site developpementpersonnel.org dont le thème était « la relation à l’autre, besoin ou envie » tire sa révérence.

Et que dire de plus que MERCI! Merci à tous ces blogueurs qui se sont passionnés pour ce thème proposé et qui ont répondu en masse à mon invitation pour composer sur ce sujet, selon leurs différents points de vue. Nous avons étés 25 blogueurs à écrire des articles! C’est extraordinaire!

Alors devant un tel succès, je me devais de faire cet article récapitulatif, afin de les remercier tous, individuellement!

Je voudrais aussi vous remercier, chers lecteurs, pour m’avoir soutenu et inspiré le thème de ce mois. Sans vous, tout ceci n’existerait pas!

Comment retrouver tous ces articles?

Et bien c’est simple. Vous avez 2 solutions.

Je vais dores et déjà publier ci-dessous tous les liens de ces différents articles sur les blogs amis d’une part, afin que vous puissiez les dévorer immédiatement.

Pour les plus patients d’entre vous, sachez aussi que les articles seront regroupés dans un ebook qui sera mis à la disposition de chacun des blogueurs participants de l’édition.

Les articles

Seule en couple, du blog qualité relationnelle de Gaëlle Dupont.

Toi: Besoin ou envie?, du blog Tyran et Victime de Caroline Domanine.

Mon ami Fabrice Touzet, du blog décroche ton job avec cet article à lire: La relation avec le recruteur: besoin ou envie?

Les 7 clés d’une relation à l’autre réussie, par Michel de Changer gagner

L’illusion amoureuse de Louis Szabo du blog spirale du bien être

Paul, de secrets du succès et son article: le secret pour être heureux ne serait-il pas de cesser de toujours vouloir plaire aux autres?

Envie d’aimer ou besoin d’amour? par Sandrino du blog « réussir ses relations »

Clément Frénay du blog « Nouvel Homme » et l’article « Comment  sauver votre couple si votre partenaire étouffe? »

« Prenez soin de vos besoins et méfiez vous des valeurs d’autrui« , par Michel Diviné du blog « Communication Bienveillante »

« JF partagerait appartement » par Morgane Sifantus du blog « Morgane Sifantus »

« Comment ne plus jamais subir de déception amoureuse » par Christophe Lieberherr de « Speed Development »

« Abandonné(e) » par Association Sêmera du site « Semera »

« Le Japon et les « cercles d’influence »« , par Mikaël du blog « J’aime le Japon »

« Tout super héros du quotidien a besoin des autres pour exister » , par Mikaël du blog « Super héros du quotidien »

« Les autres, poison ou antidote? » par Mikaël du blog « Zen coaching »

« Les relations humaines et notre bien-être » par Jean-Louis de « Environnement bien-être »

« L’individu au sein du collectif » par Blandine Dupont-Champion du blog « Pulse coaching »

« De la relation de soi à l’autre ou comment l’améliorer? » par Fati Amor de « Libérez votre vie »

« Besoin d’amour, je me sens si seul… » par Tatiana Ecoto  du site « Tatianaecoto »

« La relation aux autres êtres » par Gaëlle Dobignard de « Cheval facile »

« Peut-on vivre seul et heureux » par Dorian de « plateforme bien-être »

« Rêvez-vous d’une vie de couple qui réponde à vos besoins? » par Hannah de « forme-santé-idéale »

« Couper les cordes éthériques, le secret pour gérer une relation toxique » par Ophélie de « Ofessens »

« La relation à l’autre: besoin ou envie? » par Théo Duverger d’ « Acteur de sa vie« 

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Acteur de sa vie

La relation à l’autre: besoin ou envie?

  • Théo Duverger
  • février 16, 2015

La relation à l’autre: besoin ou envie?

Le thème d’aujourd’hui fait partie du Festival des blogs de Février, que j’ai la chance d’organiser grâce au site développementpersonnel.org. Vous trouverez l’article de lancement ici.

J’ai choisi ce thème car bien souvent, dans mes séances de coaching, je le retrouve au coeur des problèmes de mes clients. Qu’il s’agisse de leurs relations amoureuses, familiales, professionnelles, qu’il soit exprimé de prime-abord ou par le biais de la peur du regard de l’autre ou de La peur du rejet  c’est quelque chose de très présent dans nos vies…et pour cause: nous sommes des individus sociaux. Donc, par définition, nous vivons au milieu d’autres humains avec lesquels nous interagissons.

Cependant, il arrive souvent que ces relations soient plus subies que choisies.

Combien d’entre vous se sont retrouvés un jour à entamer une relation avec quelqu’un avant de vous rendre compte que celle-ci était, sinon toxique, au moins pénible? Le genre de relation qui vous pompe toute votre énergie.

Je ne parle pas des relations que nous engageons avec des pervers narcissiques, et dont nous finissons piégés petit à petit. Je ne parle pas non plus des relations, qui entrent dans le fameux triangle de Karpman « Sauveur-bourreau-victime », non. Bien avant ce genre de relations typiquement négatives, épuisantes, il en existe bien d’autres.

triangle-de-Karpman6

Je vous parle des relations que nous tissons tous les jours. Avec l’inconnu qui passe comme avec votre patron, votre associé ou votre femme.

Vous êtes-vous déjà posé la question: « cette relation, en ai-je envie…ou plutôt besoin? »

Si une réponse complète à cette question nécessiterait certainement l’écriture d’un livre entier au moins, je vais aborder ce point dans cet article, sous l’angle des relations de business. Et pas n’importe lesquelles, les relations à l’intérieur d’un réseau d’affaires.

Je reviendrai dans d’autres articles sur cette question appliquée aux relations de couple, mais, étant donné que cet article fait partie d’un carnaval d’articles dont les autres blogueurs ont déjà traité la question sous cet angle, je ne m’épancherai pas dessus cette fois. Vous aurez à disposition tous ces articles dans un ebook qui les rassemblera tous.

Les relations dans le réseau d’affaires

Lorsque vous voulez développer votre business, ou plus simplement lorsque vous souhaitez faire des rencontres de personnes proches de votre domaine d’activité, pour partager, échanger sur vos sujets préférés, le réseau d’affaires est LA SOLUTION.

Ok, mais pour participer à un réseau, pour en être un membre actif et en tirer tous les bénéfices possibles, vous allez devoir vous plier à quelques règles. Je vous parlerai assez régulièrement de celles-ci et vous donnerai des trucs et astuces pour réseauter comme un pro. Mais aujourd’hui je vais simplement aborder la relation dans le réseau sous le prisme du besoin ou de l’envie.

Besoin ou envie?

Bien entendu, un réseau d’affaires est, par définition, un endroit où vous pouvez potentiellement développer votre business. Les autres membres du réseau étant là pour vous recommander, recommander vos services professionnels etc…

Ainsi on pourrait croire que les relations que nous tissons dans un réseau sont des relations de type « BESOIN »!

Que nenni! Ce serait même contre-productif de réseauter dans cet état d’esprit. Comme dans une relation amoureuse, une relation de type « besoin » sonne faux, on la perçoit avec méfiance.

Si vous venez d’arriver dans un réseau d’affaires (ça peut-être un réseau organisé ou un réseau plus classique comme celui dans lequel vous baignez déjà), vous devez adopter l’esprit réseau.

Vous êtes là pour en tirer le maximum de bénéfices et ça, c’est ok, tout le monde est là pour ça…MAIS: vous êtes avant tout des êtres sociaux. Rien de plus désagréable que d’avoir la sensation d’être utilisé, de servir uniquement à dépanner quelqu’un!

Je me souviens, lorsque j’étais encore vétérinaire, j’avais régulièrement dans mon réseau d’ « amis », certaines personnes qui m’appelaient après plusieurs longs mois de silence, plusieurs années même parfois, simplement parce que leurs animaux étaient malades et qu’ils souhaitaient que je les dépanne…Autant vous dire que ces demandes n’étaient pas les bienvenues et que je n’étais pas dans un très bon état d’esprit pour  répondre à leurs demandes.

Dans votre réseau business, c’est la même chose. Si vous avez les dents qui rayent le parquet, si vous êtes là uniquement pour être servis et profiter au maximum sans rien ou peu donner…vous serez assez vite mal perçus.

La clé du réseau c’est peut être vous retrouver dans une relation de type « ENVIE ».

L’envie d’aller à la rencontre de l’autre. L’envie de partir à sa découverte, sincèrement. Votre principal atout est là.

Dans un réseau il existe différents temps. Le temps de l’action, de la demande, et le temps de la création de la relation. C’est probablement le temps le plus intéressant. Une de vos principales qualités ici sera très certainement la philanthropie. Pendant ces temps de création de la relation, vous devez être sincères. Vous devez vous intéresser sincèrement à l’autre. C’est comme ça que vous apprendrez à le connaître et à créer des liens réels avec lui.

Pendant toute cette période, vous aurez loisir de pouvoir envoyer l’ascenseur, c’est à dire, à pouvoir aider, conseiller, recommander l’autre. C’est pendant ce temps que vous serez « offreur » que vous préparez votre réussite « business » à l’intérieur de votre réseau.

La réciprocité

Pourquoi?

Pour la simple et bonne raison qu’il existe une règle d’influence qu’on appelle la réciprocité. 

Nous reviendrons dans d’autres articles sur cette règle, mais pour faire simple, cette règle dit que lorsqu’on vous fait un cadeau, vous vous sentez « obligé » de faire un cadeau en retour.

Aussi, le nombre de « cadeaux » (recommandations, services etc…) que vous aurez rendu aux membres de votre réseau feront de ceux-ci, vos obligés.

Par votre relation de type ENVIE (envie de rencontrer, de connaître, d’aider, de partager), vous préparez votre relation de type BESOIN (besoin de recommandation, de services etc…), qui est cette fois une relation de besoin très saine, puisqu’elle entre dans les règles d’un réseau d’affaires où, justement, les membres sont là parce qu’ils y trouvent un intérêt.

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Acteur de sa vie

Etre populaire au travail

  • Théo Duverger
  • février 4, 2015

Etre populaire au travail

Cet article est celui de mon ami Fabrice Touzet, du blog decrochetonjob.fr qui a gentiment accepté mon invitation. Je profite donc de ces quelques lignes pour le remercier et vous encourager à aller visiter son blog.  Par ailleurs, si vous-mêmes êtes l’auteur d’un blog ou si tout simplement vous désirez écrire sur un sujet en rapport avec acteur de sa vie, contactez moi ici!

Félicitations, vous venez de vous faire embaucher ! Arriver dans une entreprise demande beaucoup d’énergie : il faut adapter ses compétences à l’emploi, apprendre les codes formels et informels, ainsi que découvrir ses collègues. Si ces étapes sont nécessaires, elles ne garantissent pas pour autant votre futur dans l’entreprise : les augmentations de salaire, votre évolution de poste ou encore la possibilité de changer de métier.

Et pour cause, toutes ces aspirations ont une particularité en commun : elles impliquent votre popularité au travail. Comment la développer ? C’est par ici !

Pourquoi être populaire au travail ?

Voilà une question légitime à laquelle on peut répondre avec un proverbe africain :

 » Si tout seul on va vite, à plusieurs on va loin. « 

Vous vous rappelez de Gégé, votre collègue grincheux  ? On le connait tous : efficace au travail, il ne compte pas ses heures et sait même soulever des problèmes avec pertinence. Pourtant, c’est simple, son attitude fait que personne ne veut travailler avec lui.

Au pire, votre chef veut s’en débarrasser, sauf que personne ne le veut dans son service.

Au mieux, il a appris à faire avec et le laisse à son poste pendant de nombreuses années.

 

aaaaah sacré gégé!

aaaaah sacré gégé!

 

Votre popularité est donc un levier puissant pour obtenir ce que vous voulez :

  • Vous êtes bien plus épanoui dans une structure où tout le monde vous sourit et veut vous aider : il est bien plus facile de se plaire au bureau quand tout le monde est bienveillant avec vous.
  • Vous appréhendez le fonctionnement global de votre entreprise, au lieu de focaliser sur votre service : vous disposez d’un meilleur recul sur vos fonctions et celles des autres grâce au partage avec eux.
  • Vous bénéficiez d’un levier fort lorsque des décisions sont prises entre plusieurs services : si tout le monde vous aime, tout le monde vous veut dans son équipe. Développer votre « cote » dans entreprise facilite vos demandes de changement de poste. Votre responsable vous accordera plus facilement des augmentations ou des évolutions par joie de travailler avec vous, ou par peur de vous perdre de l’entreprise (souvent les deux en même temps d’ailleurs !).

 

A qui s’adressent ces conseils ?

Et bien figurez-vous qu’ils sont utiles pour absolument tout le monde ! Les avantages sont multiples et diffèrent selon votre situation :

  • Les stagiaires, consultants en mission et les employés en contrat à durée limité vont pouvoir augmenter fortement leurs chances d’être recrutés de façon permanente. Vous aurez de plus une meilleure marge de manœuvre pour négocier vos conditions d’entrée dans l’entreprise.
  • Les employés vont pouvoir faciliter leurs augmentations de salaire et les évolutions de poste.
  • Les managers pourront avoir plus d’influence auprès de la direction et faire fonctionner leur service au mieux.

Vous êtes convaincu ? Parfait, nous allons donc voir comment développer votre réputation dans l’entreprise !

 

Comment être populaire au travail ?

Golden Globes NominationsSoyez aussi charismatique mais aussi plus calme que Léo : c’est à cause de ça qu’il n’a toujours pas d’Oscar.

  • 1°) Soignez votre intégration dans l’entreprise 

La première chose à faire quand vous débutez dans un emploi est d’adopter les codes de celui-ci : « Quand on est à Rome, on fait comme les romains font » .

– Votre tenue de travail doit être similaire à celle de vos collègues

Observez les tenues de vos collègues qui ont le même poste que vous et copiez-les. Vous pouvez demander à votre supérieur, si vous n’êtes pas complètement sûr de vous : « C’est ok si je m’habille comme les collègues ? »

 

– Respectez les horaires d’arrivée et de départ du travail

Idéalement vous devez arriver un quart d’heure en avance et ne pas partir le premier du bureau. De même, adopter les horaires de travail de votre manager garantit une impression positive sur vos efforts d’intégration. Assurez-vous de même que ces efforts sont visibles de toutes les personnes avec qui vous travaillez : envoyez des mails de travail en début et fin de journée.

Synchronisation des montres!

Synchronisation des montres!

– Acceptez les pauses que vos collègues vous proposent.

Même si vous ne fumez pas. Même si vous ne buvez pas de café. Comprenez bien qu’à travers ce geste, vos collègues cherchent à vous intégrer et à vous connaître : c’est l’occasion idéale pour commencer à développer votre popularité. En effet, passer du temps avec un nouvel employé implique d’en parler avec d’autres collègues. Oui, on appelle ça faire l’intéressant ! Si vous faites bonne impression, le mot se répandra vite que vous êtes quelqu’un de très sympathique.

 

– Soyez exemplaire en réunion

Prévoyez toujours 5 minutes d’avance pour arriver en réunion. On dit de la ponctualité que c’est la politesse des rois : c’est en tout cas une excellente preuve de votre respect de vos collaborateurs. De même, évitez de gribouiller, de bailler ou de discuter avec vos voisins de table : demain, c’est peut-être vous qui serez en train de mener une réunion. Voulez-vous vraiment que les participants se comportent ainsi quand vous parlez ?

 

annie

C’est un poil fayot ici, vous aurez compris l’idée!

 

 

Ces points vous garantissent une intégration positive : c’est la base de votre popularité, qui se bâtira ensuite à moyen terme.

 

  • 2°) Montrez qu’on peut vous faire confiance

Ce point se focalise davantage sur votre travail : comment inspirer confiance en vos ?

– Prenez des notes lorsqu’on vous explique quelque chose. 

Lorsque l’on débute, on est souvent noyé sous les informations concernant l’entreprise, le poste et ses particularités. Prenez des notes pour ne pas avoir à redemander ces éléments : personne n’aime se répéter. De même, vous allez développer votre autonomie.

 

– Posez des questions lorsque vous hésitez.

Vous venez d’arriver, personne ne peut vous blâmer de ne pas tout savoir. Au contraire, ne rien demander pourrait même paraître suspect. Donc quand vous hésitez sur un sujet, posez une question à vos collègues. Ils seront heureux de vous aider et montrer leur maîtrise. Enfin, sauf s’ils vous ont déjà expliqué ce que vous demandez : encore une fois, prenez des notes !

 

– Respectez les deadlines qu’on vous impose.

Ce point est fondamental pour développer la confiance en vos compétences. Il peut arriver que vous vous trouviez dans l’impossibilité de les honorer : Pas de panique ! Vous êtes un humain comme les autres : si vous vous apercevez que vous ne pourrez pas tenir la deadline, signifiez-le au plus tôt.  Surtout, ne le cachez pas, ce serait vécu comme une trahison.

 

– Donnez votre avis avec honnêteté lorsqu’on vous le demande.

Vous pourriez être tenté d’acquiescer avec le chef lorsqu’il donne une idée farfelue : vous pensez que ça vous fait bien voir. FAUX ! Etre honnête va développer votre capital confiance, en plus de vous affirmer. Que vous soyez d’accord ou pas avec une idée, dites-le et surtout dites pourquoi : cela montrera vos capacités de réflexion. Ce point est très important pour développer votre popularité.

 

– Alertez au plus vite à propos des situations critiques …

Pensez à toujours signaler les problèmes que vous rencontrez, qu’il soient de votre responsabilité ou non. Ce point est aussi crucial pour développer la confiance qu’on vous accorde.

 

– … Et proposez une solution par la même occasion.

C’est probablement l’une des choses que l’on apprécie le plus chez un collaborateur : la force de proposition. Essayez donc d’imaginer une solution, que vous proposerez au conditionnel. Imaginez donc : chacun rencontre des obstacles dans son emploi. Si vous signalez le vôtre à quelqu’un, vous lui en rajoutez un. En revanche, si vous apportez une solution en même temps, vous donnez trois informations positives à votre interlocuteur : vous êtes pro-actif, vous êtes autonome et vous lui demandez son expertise.

 

– Assumez vos échecs.

Reconnaissez vos fautes lorsque vous êtes responsable d’un problème. Beaucoup de gens se réfugient derrière des excuses (on ne m’a pas donné les moyens, mon pc a planté, c’est Gégé qui m’a trop fait boire hier…). Une personne responsable, c’est quelqu’un qui a des réussites et parfois des échecs, et qui les assume autant les uns que les autres.

 

Modern-FamiPar contre, n’allez pas pleurer sur l’épaule de votre manager, ça ferait désordre.

 

  • 3°) Développer votre popularité

Enfin, plusieurs choses vous permettent de développer votre réseau au sein de l’entreprise. Grâce à ces points, vous allez créer un contact efficace avec les autres employés et faciliter vos futurs changements de poste.

 

– Dites bonjour en souriant à toutes les personnes que vous croisez.

Ce point est extrêmement important et largement négligé sur Paris en particulier ! Dans l’idéal, vous devez vous présenter à chaque personne que vous ne connaissez pas. A ce titre, vous pouvez lire mon article sur comment faire une bonne impression. Par contre, si vous êtes en pleine conversation avec quelqu’un qui vous explique une tâche, contentez-vous du bonjour souriant. Tout le monde se demandera rapidement qui est cette charmante personne aimable et pleine de vie ! De plus, le sourire est communicatif : vous ne devriez pas tarder à voir vos collaborateurs vous sourirent à leur tour.

– Présentez-vous de façon positive.

Ce point demande de la préparation en amont : les premières informations que vous donnerez sur vous au quotidien conditionneront fortement votre appréciation. Donnez des informations professionnelles ET personnelles. Si vous êtes nouveau, on vous posera plein de questions : savoir répondre de façon positive est très important. N’abordez que les sujets qui vous apportent du plaisir. Ainsi, si vous venez de déménager et que l’eau chaude n’est pas encore active, parlez plutôt de votre plaisir de découvrir une nouvelle ville. Et profitez-en pour demander quels sont les bons plans restaurants / sorties à proximité (voir point ci-dessus).

 

– Déjeunez avec vos collègues et avec les autres services.

Comment faire pour discuter posément avec tous les employés de l’entreprise ? Le déjeuner est le moment le plus indiqué ! Vous pouvez facilement le faire après quelques semaines dans l’entreprise. Pour cela, allez voir une personne que vous connaissez déjà, parce que vous lui avez déjà dit bonjour et que vous vous êtes présenté à elle ! Idéalement, votre interlocuteur doit être accessible hiérarchiquement parlant : juste au-dessus de vous, même rang hiérarchique, voire un rang inférieur pour les managers. Dites-lui que vous voulez mieux connaître l’entreprise, que son service en est une pierre angulaire, et qu’à ce titre, vous voulez mieux connaître son équipe et lui-même. Précisez que c’est de la pure curiosité, pour éviter une inquiétude superflue. Essayez de déjeuner avec tous les services importants : on vous connaîtra davantage et vous augmenterez votre visibilité dans l’entreprise.

 

 

– Posez des questions extra-professionnelles lors des pauses.

Une règle étrange de communication démontre que plus quelqu’un vous parle, plus il a l’impression de vous connaître. Profitez-en ! Les sujets sont multiples : lieu d’habitation, années d’expérience dans la société, hobbies, passions, etc… Attention : passez à un autre sujet si vous sentez que votre question dérange. Le but est de passer un bon moment, pas de stigmatiser votre interlocuteur. Essayez de retenir les informations pour plus tard : vous pourrez demander plus tard à Gégé comment vont ses enfants ou s’il s’est offert le nouveau disque de Johnny Halliday, son idole. Les gens apprécient qu’on se souvienne d’eux.

 

– Acceptez d’être le confident.

Quand vous voyez quelqu’un qui n’a pas l’air dans son assiette, proposez-lui une pause café. Les gens ont besoin de se livrer et apprécient qu’on les écoute lorsqu’ils ont un souci. N’essayez surtout pas de résoudre ce problème, vous n’en avez pas tous les éléments pour pouvoir le juger au mieux. Au contraire, vous pouvez compatir en commentant que c’est effectivement une situation complexe, que vous comprenez ce que la personne endure, voire mieux : si vous avez vécu une situation analogue, livrez-vous à votre tour. Parler de vos ressemblances va vous rapprocher. Evidemment, tout ce que l’on vous dit reste entre la personne et vous. Autrement, vous ne pourrez plus inspirer confiance. Vous êtes le confident, pas la mère Denis des ragots !

 

– Acceptez les activités extra-professionnelles

activités

Si vous suivez avec application les points précédents, vous allez créer des affinités avec plusieurs personnes. Incidemment, des collègues vous proposeront plusieurs activités en dehors du travail : sport, boire un verre après le travail, afterworks ou encore dîners. Mieux, vous pouvez aussi être moteur en le proposant aux collaborateurs avec lesquels vous avez des affinités. Si vous êtes invité chez quelqu’un, apportez toujours quelque chose de particulier : une bouteille de vin que vous aimez bien, des chips particulières (les Tyrells aux légumes sont excellente !) ou autre nourriture d’apéritif que vous voulez faire découvrir (c’est le moment de sortir le foie gras que Mamie vous a offert généreusement à Noël). Ces moments sont des occasions rêvées de créer des liens avec vos collègues.

Il y a trois règles à respecter pour bien gérer ces occasions:

  • Tout d’abord, acceptez toujours la première fois qu’on vous propose un événement. L’humain est ainsi fait qu’un premier non vaut inconsciemment pour toujours, et vous risquez de ne plus avoir de propositions du même genre. Si vraiment vous ne pouvez pas, précisez-le en répondant et planifiez la prochaine sortie directement, cela montrera votre engagement à vouloir participer.
  • Ensuite, comportez-vous de manière positive, relaxée et avec respect. Parlez avec tout le monde convié à l’événement en souriant. Demandez toujours à la fin quand est-ce que vous referez ce type de sorties : vous enverrez le signal inconscient à vos relations que vous avez beaucoup apprécié ce moment.

 

madmendrunkPetit aparté sur les sorties avec de l’alcool : n’en abusez pas ! Restez sous les limites de la réglementation en termes de quantité de verres : être ivre mort n’a jamais développé le charisme de qui que ce soit !

  • Enfin, restez discret au travail sur ces sorties. Quand vous voyez beaucoup vos collègues, il y a un risque de passer pour une personne qui met son travail en second plan. Il vaut mieux éviter ce genre de réputation nuisible à votre aura de professionnalisme.

 

Voilà, vous avez tous les éléments pour être populaire au travail ! J’ai conscience que cela représente beaucoup de choses à faire : c’est pourtant là le secret de ceux qui ont accès au meilleur traitement dans une entreprise. C’est le secret de ceux qui sont acteurs de leur vie !

J’espère que cet article vous a plu : si c’est le cas, venez découvrir mon blog sur l’amélioration de la vie professionnelle : decrochetonjob.fr . Vous y trouverez plein de conseils pour faire la différence en entretiens d’embauches, et les autres situations une fois en poste.

Alors à bientôt !

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Acteur de sa vie

évènement du mois: la relation à l’autre, besoin ou envie?

  • Théo Duverger
  • janvier 26, 2015

L’évènement du mois: « La relation à l’autre: besoin ou envie? »

Bonjour à tous, soyez les bienvenus dans cet article particulier, puisqu’il correspond à l’article de lancement du Festival Interblogueurs « A la croisée des blogs ».

Chaque mois, un membre du site Developpementpersonnel.org  propose un thème de réflexion, que chaque blogueur peut ensuite développer sur son site. Le mois dernier, c’est Julien Prest du blog « un monde pour les introvertis » qui nous proposait d’écrire sur « gérer son énergie ». Cliquez ici pour retrouver tous les articles

Ce mois-ci, c’est donc votre blog Acteur de sa Vie qui a la chance d’organiser ce festival.

Le thème du mois, de cette réflexion entre blogueurs sera donc le suivant:

« La relation à l’autre: besoin ou envie? »

La relation à l’autre: besoin ou envie?

Pourquoi ce thème?

C’est assez simple. Je me suis rendu compte que la plupart des choses qui nous rendait heureux ou malheureux, dépendait des choix que nous faisons ou que nous ne faisons pas. Ainsi, dans la relation à l’autre, il y a parfois des choix à faire. Des relations qui ressemblent plus à de la dépendance qu’à de la liberté réelle et choisie, d’être ensemble.

Qu’il s’agisse de relations amicales ou intimes, dans le cercle familial, dans le couple ou dans le milieu professionnel, comment marquons-nous cette différence entre le besoin et l’envie de se lier à quelqu’un?

Ce thème fait presque naturellement suite aux articles sur la peur du rejet et sur la peur du regard de l’autre.

Comment aborder ce thème sur votre blog?

Comme expliqué plus haut, ce thème est assez général et peut être perçu à travers différents prismes, différents points de vue.

Certains s’orienterons peut-être sur la dépendance relationnelle, alors que d’autres écriront plutôt sur les besoins sociaux. Peut-être encore que quelques blogueurs resteront dans la sphère de la relation intime ou élargiront à tous les types de relation.

Vous êtes parfaitement libres de présenter ici votre point de vue sur ce thème.

Comment participer?

Règles éditoriales:

  • Votre article doit être écrit en langue française, sans faute d’orthographe
  • Il doit contenir au moins 500 mots ;
  • Votre article doit être inédit et de nature non commerciale ;
  • Vous pouvez inclure jusqu’à 3 liens vers votre propre blog
  • Enfin vous devez inclure les 3 liens suivants :
    • Un lien vers cet article: https://acteur-de-sa-vie.com/evenement-du-mois-la-relation-a-lautre-besoin-ou-envie
    • Un lien vers mon blog: https://acteur-de-sa-vie.com
    • Un lien vers le site organisateur : http://developpementpersonnel.org

Comment soumettre votre article :

  • Publiez l’article sur votre blog avant la date limite: le Dimanche 15 Février 2015
  • Rendez-vous sur le site developpementpersonnel.org
  • Ajoutez votre article en remplissant simplement le formulaire de la page de soumission : cliquez ici pour remplir le formulaire (nb: il arrive parfois, selon votre navigateur de tomber sur une page « erreur JoomSEF, pas de panique, rechargez la page et hop, tout redevient normal)

La semaine suivant la date limite, je publierai un article récapitulatif de toutes vos contributions, contenant un lien vers votre article.

 

Il est donc important de respecter la date limite. Si toutefois vous aviez un léger retard, veuillez me contacter par email

Au cours des semaines suivantes, je préparerai un livre numérique contenant toutes vos publications (après votre consentement), que vous pourrez ensuite librement distribuer à vos lecteurs.

 

Remarque : si vous n’avez pas de blog et souhaitez participer au livre, veuillez me contacter grâce au formulaire de contact en bas de ma page « Contact »

 

J’attends vos contributions avec impatience, j’ai hâte de vous lire!

A très vite

Théo

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Acteur de sa vie

Comment gérer un échec?

  • Théo Duverger
  • janvier 14, 2015

La gestion de l’échec

Cet article m’a été demandé par plusieurs fidèles lecteurs à travers la Newsletter. Et c’est avec plaisir que j’y réponds aujourd’hui, en ces premiers jours de 2015 marqués par les évènements tragiques survenus à Paris.

Il n’existe pas différentes méthodes pour apprendre à gérer un échec, mais chacun peu s’approprier de façon assez personnelle, ces techniques et processus que je vais évoquer plus bas.

Qu’est-ce qu’un échec?

Il faut tout d’abord commencer par se poser cette bonne question. Si vous vous souvenez de l’article sur les « métaprogrammes », rappelez-vous que l’un d’entre eux est le métprogramme « associé-dissocié ».

Pour rappel, dans le métaprogramme dissocié, vous vivez l’évènement de l’extérieur, comme si c’était quelqu’un d’autre qui le vivait à votre place alors qu’en associé, vous êtes pleinement dans la réalisation de l’acte, vous vous y associez totalement.

Prenons juste un instant pour utiliser ce métaprogramme dissocié. En langage courant, on pourrait dire, « prenez du recul » par rapport à la situation que vous qualifiez d’échec.

Cette toute première étape constitue le point d’entrée, la clé pour diminuer le niveau émotionnel lié à la situation qualifiée d’échec.

Bien, maintenant que vous avez pris du recul ou encore de la hauteur par rapport à cet événement, posez-vous cette question :

Quel était l’objectif visé ?

escalier du ciel

Je vous propose ici de reprendre un instant pour relire l’article sur la définition des objectifs et de repenser à l’objectif final.

Si vous vous souvenez bien de cet article, un objectif final, un méta-objectif, peut et doit se décomposer, pour faciliter son accomplissement, en différents sous-objectifs. Chacun de ces sous-objectifs étant alors perçu comme une marche, une étape supplémentaire dans l’escalier du succès.

Et maintenant, laissez-moi vous reposer une question : Dans quel sous-objectif, à quelle étape, sur quelle marche vous trouvez-vous , dans la progression logique vers votre succès ?

Demandez-vous ceci. Ne vous est-il jamais arriver de rater une marche, de faire un faux pas dans un escalier ?

Et quelle a été la réaction ? Avez-vous dégringolé l’ensemble des marches ou juste quelques unes ? La plupart des gens répondront : aucune ! Vous avez juste pris le temps de réajuster votre pied, de réajuster votre démarche pour que le prochain pas soit ferme et assuré pour gravir le futur échelon.

Peut-être sur le moment avez-vous eu réellement peur de tomber, peut-être même que vous vous êtes fait mal à la cheville avec ce faux pas oui mais…êtes-vous resté sur cette marche tout seul à pleurnicher ou avez-vous continué à progresser, à avancer ?

Voilà où vous en êtes aujourd’hui. Vous êtes sur cette marche qui vous a donné un peu de fil à retordre. Comment allez-vous reprendre votre marche vers le progrès désormais ?

L’échec comme outil fabuleux d’apprentissage

Toujours pour revenir à la métaphore de l’escalier, une fois que vous avez trébuché, il est fort à parier que désormais, vous allez prêter plus d’attention à votre ascension, qui n’en sera que plus sereine et plus sécurisée. Vous allez adapter votre vitesse, vous allez adapter vos pas pour recréer les bonnes conditions, nécessaires à cette progression.

Un échec n’est pas une fin en soi. Bien au contraire. C’est une formidable occasion d’apprendre. Apprendre quels points vous devez améliorer, quelles adaptations vous devez faire pour continuer à progresser toujours un peu plus.

Mickael jordan disait : J’ai raté 9000 tirs dans ma carrière. J’ai perdu presque 300 matchs. 26 fois, on m’a fait confiance pour prendre le tir de la victoire et j’ai raté.  J’ai échoué encore et encore et encore dans ma vie. Et c’est pourquoi je réussi.

C’est parce qu’on échoue qu’on se remet en question, qu’on peut retravailler son style encore et toujours . Je ne sais pas si vous atteindrez un jour la perfection mais je sais qu’en adoptant cette attitude, vous aurez toujours l’envie de progresser et ne tomberez jamais dans la lassitude ou la vanité de celui qui sait tout !

Edison, le fameux inventeur de l’ampoule à incandescence, a échoué 10000 fois avant de parvenir enfin, à créer cet objet, son objectif ultime.

10000 marches ont été nécessaires à son escalier avant d’atteindre son but !

Et lorsqu’on lui opposait cet argument il ne manquait pas de répondre, qu’il n’avait pas échoué 10000 fois, mais trouvé 10000 façon de ne pas créer une ampoule à incandescence ! Quel magnifique recadrage n’est-ce pas ?

La gestion de l’échec, la peur de l’autre, la peur du rejet.

Il n’y a souvent pire juge que soi-même. Surveillez consciemment la façon dont vous qualifiez cette étape de vie. Vos pensées, les mots que vous employez pour vous juger sont souvent très révélateurs de votre niveau d’estime de vous.

Et si vous essayiez, ne serait-ce qu’une semaine, juste pour voir, de changer de disque ? De vous considérer avec attention ?

Je sais que votre censeur personnel aura souvent tendance à se cacher et à reprendre le dessus. Soyez juste attentif. S’il survient, observez-le. Dissociez-vous de lui, et recommencez à utiliser des mots et pensées positives à votre égard. Et même s’il faut forcer le trait au commencement!

Il n’y a pas d’échec ici, juste un apprentissage encore et toujours, de la bonne façon de se traiter.

Bien entendu, derrière la gestion d’un échec, il y a aussi tous les ancrages passés, toutes les fois où quelqu’un de proche vous a fait des réflexions parce que son niveau d’exigences n’a pas été satisfait par votre insuccès momentané, alors vous vous êtes sentis jugé, rejeté peut-être.

En toile de fond d’une gestion d’un échec il y a souvent ces vieux ancrages qui peuvent sournoisement ressurgir.

N’hésitez pas à lire l’article sur ces peurs, qui vous renseignera à ce sujet.

Généralement, les techniques données dans cet articles vous suffiront amplement à gérer vos échecs.

La mise à distance par la dissociation et le recadrage sont normalement assez puissants pour cela.

Si toutefois un vieil ancrage du passé se faisait trop ressentir, pourquoi ne pas vous faire aider par une personne compétente ?

escalier 2

Souvenez vous aussi que pour aller de Paris à Marseille, vous êtes entièrement libre de passer par Orly avant de rejoindre Marseille, ou par la porte d’Orléans, Lyon, Valence et enfin Marseille, comme vous pouvez aussi passer par Brest, Mulhouse, Carcassonne puis Marseille.

Autrement dit, il existe souvent plusieurs chemins pour le même objectif. Et de même que l’on dit souvent que ce n’est pas tant l’arrivée qui importe que le voyage, qui d’après-vous se sera le plus enrichi dans cette épopée ?

Celui qui aura directement choisi de se rendre à l’aéroport d’Orly avant d’atteindre son but ou celui qui aura parcouru la France, découvert des spécialités locales, des monuments, des cultures différentes ?

Si cet article vous a plu merci de le partager ! Et laissez un commentaire ci-dessous , ça fait toujours plaisir !

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